Le ministère des sports et des loisirs vient de réceptionner huit (08) terrains de handball construits dans certains établissements scolaires à travers les régions de notre pays.
Chargé de la mise en œuvre de la politique du Gouvernement en matière de sport et de loisirs, le ministère des sports et des loisirs a initié ce projet de construction des infrastructures sportives dans les établissements scolaires, en vue d’offrir aux jeunes un espace d’apprentissage des disciplines sportives, mais aussi un plateau d’expression de leurs talents sportifs en vue de la détection des pépites.
Ce projet répond à la volonté du Chef de l’Etat, Son Excellence Monsieur Faure Essozimna GNASSINGBE, qui s’est engagé, à travers le plan national de développement (PND) 2018-2022 et la feuille de route gouvernementale 2020-2025, à faire du sport, non seulement un moyen d’épanouissement des populations par le renforcement de l’inclusion et la promotion du vivre ensemble, mais aussi un secteur pourvoyeur d’emplois et créateur de richesses.
Pilotée par la Direction des Sports Scolaire et Universitaire (DISSU), la première phase de ce projet a prévu la construction d’au moins un terrain de handball par région éducative.
Le choix de cette infrastructure s’explique par le fait qu’elle présente de part ses dimensions, une opportunité de diversification de pratiques sportives. En effet, sur un terrain de handball, on peut tracer un terrain de basketball, de volleyball, de lawn tennis ou de badminton. On peut également y jouer au maracana, dérouler un cours d’éducation physique et sportive et aussi s’adonner à la pratique du sport pour tous.
Les huit (08) infrastructures réceptionnées ont été réalisées au Lycée de Gando dans l’Oti-sud, au Lycée de Pessarè dans la Binah, à l’EPP de Tomdè dans la Kozah, au CEG de Kpassouadè dans le Tchaoudjo, au Lycée d’Elavagnon dans l’Est-mono, au Lycée de Womé dans le Kloto, au Lycée de Badougbé dans le Vô et au Collège Protestant d’Agbalépédogan à Lomé.
Ce projet qui mérite d’être pérennisé, a pu être concrétisé grâce à la subvention de l’Etat accordée à la DISSU pour l’organisation de ses activités, celles-ci n’ayant pas pu se tenir à cause de la Covid-19 au cours des années académiques 2019-2020 et 2020-2021.